4 juillet 2009
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Un petit compte rendu d'alain qui revient sur ses émotions du week end dernier et qui nous les fait partager...
Un an que je l’attendais. Un an parsemé de doutes et de problèmes physiques, héritage de cette défaillance incompréhensible doublée d’une chute violente sur le parcours vélo. Un an pour remettre la machine en route. Un an pour que ma phrase de conclusion « touché mais pas coulé » lors de mon compte rendu de 2008 ne soit pas des paroles en l’air. Pour ce rendez-vous, j’ai misé sur l’expérience mais surtout sur l’orgueil afin de compenser les manques de la préparation physique. Dans ce compte rendu je ne m’étendrais pas sur les détails de la course. Je dirais simplement une natation moyenne en 1H08’46’’ résultat d’un mauvais choix stratégique sur la ligne de départ (trop sur la gauche) résultat, trop loin de la bonne trajectoire et trop de chemin parcouru sur la première boucle. Pour le vélo, après un départ prudent sur les 20 premiers kilomètres, je réalise dés la première bosse que les jambes sont bonnes, très bonnes. Le chrono à l’arrivée confirmera mes sensations 5H33’29’’. Sur ce parcours varié je me suis fais plaisir même si dans les descentes je suis resté un peu en dedans (trop d’appréhension et de mauvais souvenirs pour lâcher totalement les freins).Quant au marathon bouclé en 3H53’54’’ il alternera le bon et le moins bon (1°tour super, 2° tour correct, 3° tour au fond du trou, 4° tour à l’orgueil). Les 200 derniers mètres de la FINISH LINE seront un moment de pur bonheur. La vue du chrono affichant 10H45’42’’mon meilleur chrono et de loin sur la distance me permet de tirer un trait définitif sur l’édition 2008. « Objectif atteint, contrat rempli ». Par pudeur, je ne vous dévoilerais pas les conséquences de l’émotion qui fut la mienne à cet instant. Mais NICE 2009 c’est aussi les moments partagés avec Olivier, Alain et Xavier et de souligner les excellents résultats de chacun (paroles de connaisseur). Xavier : La jeunesse et l’insouciance toujours prêt à relever les défis. Le fonceur prometteur. Alain : Un gros moral et beaucoup de cœur. La force tranquille. Olivier : Un garçon gentil et modeste qui associe fort potentiel, méthode et rigueur. Au résultat, un coup d’essai qui se transforme en coup de maitre. Chapeau Olivier !!! Pour moi, ce résultat d’ensemble ne fait qu’amplifier le bonheur que l’on peut éprouver lors de ces grands rendez-vous car il est partagé. (J’espère qu’il y en aura d’autres.) Ce petit compte rendu ne serait pas complet si je n’associais pas ceux et celles qui depuis des mois nous supportent (à comprendre dans les deux sens) et qui durant une longue, très longue journée nous ont encouragés, applaudis, photographiés, voir sonné les cloches, n’est ce pas Yann ? Alors merci Claire, merci Yann, merci Gina et merci Stéphanie. Une dédicace spéciale à mon épouse Véronique et ma fille Zoé qui, depuis 5 saisons IRONMAN, m’apportent un soutien sans faille. (Déjà 5 ans !!!) Alain BOUTEAU.
Un an que je l’attendais. Un an parsemé de doutes et de problèmes physiques, héritage de cette défaillance incompréhensible doublée d’une chute violente sur le parcours vélo. Un an pour remettre la machine en route. Un an pour que ma phrase de conclusion « touché mais pas coulé » lors de mon compte rendu de 2008 ne soit pas des paroles en l’air. Pour ce rendez-vous, j’ai misé sur l’expérience mais surtout sur l’orgueil afin de compenser les manques de la préparation physique. Dans ce compte rendu je ne m’étendrais pas sur les détails de la course. Je dirais simplement une natation moyenne en 1H08’46’’ résultat d’un mauvais choix stratégique sur la ligne de départ (trop sur la gauche) résultat, trop loin de la bonne trajectoire et trop de chemin parcouru sur la première boucle. Pour le vélo, après un départ prudent sur les 20 premiers kilomètres, je réalise dés la première bosse que les jambes sont bonnes, très bonnes. Le chrono à l’arrivée confirmera mes sensations 5H33’29’’. Sur ce parcours varié je me suis fais plaisir même si dans les descentes je suis resté un peu en dedans (trop d’appréhension et de mauvais souvenirs pour lâcher totalement les freins).Quant au marathon bouclé en 3H53’54’’ il alternera le bon et le moins bon (1°tour super, 2° tour correct, 3° tour au fond du trou, 4° tour à l’orgueil). Les 200 derniers mètres de la FINISH LINE seront un moment de pur bonheur. La vue du chrono affichant 10H45’42’’mon meilleur chrono et de loin sur la distance me permet de tirer un trait définitif sur l’édition 2008. « Objectif atteint, contrat rempli ». Par pudeur, je ne vous dévoilerais pas les conséquences de l’émotion qui fut la mienne à cet instant. Mais NICE 2009 c’est aussi les moments partagés avec Olivier, Alain et Xavier et de souligner les excellents résultats de chacun (paroles de connaisseur). Xavier : La jeunesse et l’insouciance toujours prêt à relever les défis. Le fonceur prometteur. Alain : Un gros moral et beaucoup de cœur. La force tranquille. Olivier : Un garçon gentil et modeste qui associe fort potentiel, méthode et rigueur. Au résultat, un coup d’essai qui se transforme en coup de maitre. Chapeau Olivier !!! Pour moi, ce résultat d’ensemble ne fait qu’amplifier le bonheur que l’on peut éprouver lors de ces grands rendez-vous car il est partagé. (J’espère qu’il y en aura d’autres.) Ce petit compte rendu ne serait pas complet si je n’associais pas ceux et celles qui depuis des mois nous supportent (à comprendre dans les deux sens) et qui durant une longue, très longue journée nous ont encouragés, applaudis, photographiés, voir sonné les cloches, n’est ce pas Yann ? Alors merci Claire, merci Yann, merci Gina et merci Stéphanie. Une dédicace spéciale à mon épouse Véronique et ma fille Zoé qui, depuis 5 saisons IRONMAN, m’apportent un soutien sans faille. (Déjà 5 ans !!!) Alain BOUTEAU.
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